PixelinewZ
Reconnaître une pochette de disque en ne voyant qu'une petite partie est un véritable défi, surtout pour les passionnés de musique. Les pochettes d’albums sont souvent des œuvres d'art complexes et détaillées, conçues pour capter l'attention dans leur ensemble. Lorsque seule une fraction est visible, les indices visuels deviennent plus subtils et difficiles à déchiffrer. Il faut se fier à des éléments comme la palette de couleurs, une typographie distinctive, ou un motif reconnaissable. Parfois, ce n'est qu'un petit coin de l'image, une ligne de texte partielle, ou un détail presque anodin qui peuvent réveiller la mémoire.
La difficulté réside aussi dans le fait que certains albums célèbres partagent des styles similaires : une couverture abstraite ou minimaliste peut se fondre dans le paysage visuel d'autres disques. À l'inverse, d'autres pochettes, plus iconiques, sont tellement imprégnées dans la culture populaire qu'une simple couleur ou forme suffit à les reconnaître, mais cela demande souvent une grande familiarité avec l'œuvre.
Il faut donc à la fois un œil averti et une excellente mémoire visuelle pour relever ce défi. C’est un exercice où chaque détail compte, et qui rappelle à quel point l’esthétique des pochettes d’albums fait partie intégrante de l'expérience musicale.
Bref, on va faire simple !
Initié à la musique au début de l’adolescence par les disques des Beatles, de Simon & Garfunkel et de Pink Floyd, c’est en seconde, au début des années 90 que j’ai plongé dans le rock, le shoegaze, puis découvert la pop baroque et l’électro. Plus tard, j’ai commencé à explorer les univers folk américain et britannique (prog folk en particulier) dont je ne suis pas encore revenu. Saupoudrez de généreuses pincées de musique brésilienne, de soul et de jazz et vous aurez une bonne idée de mes goûts musicaux, régulièrement alimentés par les amis du Twitter musique !
Je me réjouis d’être résident cette semaine et je vous souhaite à tous plein d’étoiles et de belles découvertes !
Tombée ici par hasard !
Je suis d'une nullité absolue sur Pixelized mais j'adore ce jeu. N'étant pas un couteau Suisse (coucou Fabio) j'espère que tout ira bien.
J'écoute beaucoup de vieilles choses aussi soyez prêts à remonter le temps de nombreuses fois.
Pas de longs récits sur le choix de mes albums, je ne sais pas faire.
Bonne semaine et chance à tous.
Le disque parfait pour te foutre un bon coup de déprime. Une sorte de slow-metal aux petits oignons, sans cri ni effusion de sang, et avec une voix qui peut parfois faire penser à Midlake.
Vitskär Süden – Vessel
Ripple Music 2024
Bon, c’est bien embêtant, parce que parler de moi, d’autant plus par cette voie, ce n’est jamais évident. Et puis quoi dire ? Je ne suis ni particulièrement musicien (avec pour seule expérience douteuse d’avoir tapé quelques années sur des fûts de manière totalement approximative bien qu’enthousiaste), ni vraiment mélomane (les noms des troisièmes guitaristes ou des mixeurs sons ou les nuances génériques entre d-beat et crust-punk, très peu pour moi). J’ai juste eu le malheur de tomber assez jeune dans le chaudron Pitchfork/MagicRPM/Sputnikmusik, me construisant dans ma ville lyonnaise une réputation problématique d’indie boy. Pour vous dire la gravité de la situation, mes ami.e.s ont fini par résumer (assez efficacement, je dois l’avouer) mes goûts en une catégorie sentencieuse : le « folk chiant ». Un cliché sur pattes en somme.
Puisqu’il n’y a rien qui ne soit pas accablant dans ce portrait à charge, je préfère vous parler de ce jeu : depuis des mois, il nous fait râler, débattre, et spammer allègrement nos groupes whatsapp avec EddyMeter, Krokodebil et autres BobAppleFish. Il m’a fait enfin entrer en contact avec des têtes lyonnaises connues de concerts sur des péniches douteuses. Il a rythmé mes journées, et ouvert un nouvel espace de discussion et de découvertes (bien que je ne sois pas parmi vos échanges virtuels) avec des gens fort sympathiques. Il a failli à maintes reprises causer ma rupture sous prétexte que c’était devenu à peu près mon seul sujet de conversation, et que débattre sur à quel point identifier la pochette d’un album de Swell en moins de 2 secondes est une performance majeure n’est pas exactement un point d’intérêt universel. Et, last but not least, il m’a révélé lors d’une soirée mémorable l’existence du plus chouette des bars confidentiels parisiens : le Motel (à quand la seconde édition du Pixelized live ?).
Pour toutes ces raisons, voici donc pour cette semaine ma modeste contribution à cette joyeuse communauté, avec mes chaleureux remerciements à vous toustes et surtout mes excuses par avance : sept albums que j’aime, puisés (plus ou moins ?) au hasard, ça fait un risque non négligeable de folk chiant.
Bises, et bonne chance !
DJ Ackstrummer n'est pas sur X, utilisez les commentaires ci-dessous pour lui dire que sa sélection est trop facile ou trop super !
(Les gens qui lisent la bio: on sait bien que c’est juste pour essayer de grappiller des indices. Il n’y en aura pas.)
Entourée, au boulot, de très jeunes personnages qui ne s’y connaissent que moyennement en musique - à part en Anne Sylvestre - je me rattrape le week-end avec des ami·e·s qui en parlent et en font beaucoup, des vinyles par millions qui ne demandent qu’à être écoutés et des concerts plutôt pas mal dans les environs. Lausanne, cette bonne petite ville.
Écouter, j’aime bien. En parler, beaucoup moins. Peut-être à cause d’un traumatisme à 12 ans, quand j’ai présenté un exposé sur JJG et que les deux camarades juste avant moi avaient choisi Béru et Ludwig von 88.
Je dis que j’écoute des trucs comme Pere Ubu ou Sun City Girls pour faire ma spéciale, mais en vrai ce que je préfère c’est le classic rock bien mainstream.
Mon amour va tout droit à Robert Smith, Jarvis Cocker, les Kinks et Big Thief.
Je déteste Nick Cave (parce qu’il est louche) et Eric Clapton (parce qu’il a pas été réglo du tout avec mon préféré au monde, mais j’aime quand même bien ce qu’il a fait avec son équipe de Dominos).
Les Clash, j’ai jamais compris. Booba, oui.
Je ne vais mettre que des disques que j’aime très fort, sans peur du jugement.
Les points reviennent! Y aura facilement moyen de s’en mettre un bon paquet de côté dans les premiers dixièmes de secondes ; on perd déjà assez d’heures de notre vie sur Aligned Records.
Encore une idée à la con : Pixelicroûte !
Les joueurs dessinent des pochettes mythiques en pixel art, chaque jour un dessin est publié, et tu dois deviner l'artiste ! En fin de journée, tu peux comparer avec la pochette originale, et attribuer une note à la croûte.
Un jeu où y'a rien à gagner, mis à part une bonne tranche de rire.
Ça se joue ici | Et on dessine ici
Chers amis, chers joueurs,
J'ai besoin de me libérer, de me délivrer de pixelized pendant quelque temps.
La pochette du jour sera de retour en septembre, ou en octobre, ou à Noël, qui sait!
Merci à tous les joueurs, les résidents, les community managers improvisés et j'en passe!
En attendant, je vous ai concocté un nouveau petit jeu pour faire travailler votre cerveau sur la plage.
Bonjour chez vous!
Toute une semaine dédiée aux délais dépassés : vous en rêviez ? Fabio l’a fait !
C’est l’été : certains sont en vacances, d’autres pas encore et d’autres plus (force à vous).
Alors pendant sept jours : on se décontracte et on s’amuse avec une playlist WTF.
Je fais le serment de mettre à profit tous mes talents de merdologue pour vous divertir.
Cependant, la notion de délai dépassé étant totalement subjective : je tiens à l’avance à présenter mes plus plates excuses à ceux qui apprécieraient sincèrement certains artistes présents cette semaine.
Attention : certaines pochettes ne seront pas des albums mais des 45T.
Have fun!
DJ Moz35
Sur le thème : Les accents ont du talent
Après avoir fait ses gammes à manger des frites et boire de la bière dans les
Ardennes et le Nord, il s’est depuis 20 ans converti à la galette saucisse… et à la bière... Bretonne.
DJ Ràfond
Sur le thème : Hard rock des 80's
Petit gars de la Beauce ayant fait une grosse halte Lyonnaise de quasi 15 ans, amateur de pinard et de whisky écossais, il a découvert la musique grâce à son cousin qui avait 6 ans de plus. A kiffé le hard très tôt (premier album à 6 ans) puis le punk, s'est fortement arrêté sur Joy et les Smiths et s'est enfin forgé au fil des années sa propre empreinte musicale, plutôt vaste et parfois vague....
Se prend parfois pour un girafon mais c'est pour du rire hein ? En plus il ne supporte pas de se flinguer la tête parce que les plafonds sont trop bas, et les sabots ça fait mal aux pieds.
D'abord.
Aimant aussi les blagues à deux balles, jeux de mots et autres calembours, n'oubliez pas que l'été étant là, les canicules s'emballent...(Tu l'as ?)