La première émotion qu'évoque à Fredrika Stahl la situation écologique est sombre, comme la première chanson, The World To Come, qui se conclut sur un "There's no world to come" sans appel.
Par contre, ensuite, la pop jazz de la suédoise colle bien au parti pris du film de ne pas sombrer dans le catastrophisme face aux enjeux environnementaux et sociaux et d'adopter un point de vue optimiste.
Pas mal d'instrumentaux bien sûr mais aussi des chansons entêtantes (Make A Change, Pull Up Your Sleeves, Tomorrow...). J'aime beaucoup
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