Écouter le premier album de Sttellla (le groupe belge mené par Jean-Luc Fonck) est presque une expérience obligatoire si tu aimes la musique qui ne se prend pas au sérieux.
 

Parce qu’il n’y a pas que les Beatles dans la vie, il y a aussi les Belges qui chantent des odes aux pâtes, aux frites et aux petites absurdités du quotidien. Le premier album de Sttellla, c’est un peu comme ouvrir une friteuse musicale : ça crépite, ça sent bon la dérision, et ça te met de bonne humeur même un lundi matin pluvieux à Bruxelles.

Ici, pas de chansons d’amour tragiques ni de refrains trop sérieux. Non, Sttellla préfère transformer chaque banalité en hymne rock déjanté. Résultat : tu ris, tu chantes, et tu te demandes pourquoi personne d’autre n’a pensé à écrire des tubes sur la bouffe et la vie de tous les jours.

Bref, écouter ce disque, c’est comme commander une grande portion de frites bien croustillantes : tu sais que ça ne va pas changer le monde… mais ça rend la vie sacrément plus savoureuse.