pixelinewz
Lyonnais depuis une quinzaine d'années, j'ai longtemps vécu en Ile-de-France avant d'aller voir ailleurs. Ailleurs, c'est chouette, et la musique y est sympa.
J'écoute des choses assez éclectiques (c'est sans doute un peu la norme ici), dont je vous épargnerai les plus exotiques. Un attachement particulier aux sonorités pop-rock 60-90, y compris métalliques, remontant à mon adolescence dans la première moitié des années 1990. Avant internet, la découverte musicale passait par l'achat de CDs, l'échange de cassettes (au lycée c'était mon premier critère d'amitié, ou on s'envoyait des mixed tapes par la poste, parfois depuis l'étranger), la lecture des magazines spécialisés ou des fanzines papier. On écumait les disquaires, où on trouvait pas cher les vinyles dont les gens s'étaient débarrassés pour racheter leurs albums en CD.
Gros engouement pour les concerts, qui m'est passé début 2000s, et revenu après les confinements de l'an 2020. Les amitiés forgées à hanter les rades à la recherche de blind tests, ont relancé l'enthousiasme pour la découverte de sonorités inédites, ou la replongée nostalgique dans les décennies enfuies.
Et mine de rien, c'est aussi à ça qu'invite Pixelized, voyager chaque jour vers des horizons musicaux, inconnus ou reconnus. J'espère que ma sélection vous donnera envie d'écouter, ou réécouter, les albums correspondants aux pochettes.
Il n'a pas X ou BlueSky, dites coucou ci-dessous !
Fan de rock et d'indie rock depuis toujours. De Bordeaux, la capitale du noir désir, des caves, du vin mais aussi de Partenaire Particulier.
Ça fait 10 jours que je peaufine des textes à propos de disques et que je vais chercher des pochettes en haute définition et à la dernière minute je réalise que le premier truc que je dois faire c’est pondre un texte sur moi plus une photo, pfff… Bon ben allons-y, déjà un selfie devant les étagères billy, ça c’est fait.
Globalement, comme la majorité des pixelizers je suppose, je suis un music nerd. J’écoute de la musique en toute occasion depuis que je suis gamin, d’abord les disques de mes parents (Beatles, Pink Floy, Brassens, AC/DC…) puis je suis tombé dans le grunge à l’adolescence (fan absolu de Nirvana mais j’étais un poil trop jeune pour aller les voir en février 94, RIP) avant d’aller dans le punk, d’abord the Offspring et après j’ai voulu creuser le punk puis tous les styles. J’ai écouté les conseils des aînés, fouillé le dictionnaire du Rock de Mishka Assayas, acheté des hors-séries des Inrocks, puis est arrivé internet les listes à dans tous les genres et le site de Scaruffi. Et pendant tout ce temps j’ai écumé les magasins d’occaz (merci la vie à Paris) et j’ai commencé à me faire une collection (majoritairement de CD) qui a atteint le stade dit de « bien chiante à déménager ».
J’aime découvrir des trucs (loué soit Bandcamp !), j’aime partager des trucs et la communauté Pixelized est parfaite pour ça ; un des meilleurs trucs qui soit arrivé sur les réseaux sociaux. En plus ça permet de se prendre une bonne dose d’humilité chaque jour ce qui est toujours une bonne chose.
Si je devais résumer ce que j’écoute je dirais principalement du rock indé, du punk, du métal et des trucs chelous. Dernière passion en date : les productions raw-black-metal/dungeon synth du label Grime Stone Records (Old Nick, Bloody Keep, Vampiric Coffin…), mais promis il n’y en aura pas cette semaine. Enfin je crois, on verra bien, en tous cas j’espère que ça vous plaira.
Puisque je dois légitimer l’hasardeuse décision de Maître Pixel de me passer le flambeau cette semaine, voici, en trop de mots, qui je suis : Je ne suis pas vraiment musicien, mais j’ai joué dans des groupes de crapules quand j’étais jeune. Depuis, tous mes projets sont du vaporware (à ne pas confondre avec la vaporwave, pour l’amour du ciel). Il s’avère que je suis meilleur avec les ordinateurs qu’avec une guitare, donc je passe finalement mon temps à terroriser mes étudiant.e.s avec des algorithmes de tri.
Par contre, la musique, je l’écoute. Souvent en concert, idéalement dans des lieux qui collent, avec les copains, les copines et une grande bière à la main (coucou les Lausannois.e.s). Je la chante aussi, la musique : mon épouse trouve mes performances au karaoké époustouflantes. Ma gamine de 3 ans, elle, est moins impressionnée. D’ailleurs, les enfants, ça en bouffe du temps ! Maintenant que ce dernier n’est plus assez abondant pour, par exemple, faire semblant de prendre du plaisir à analyser les subtilités du contrepoint baroque, je me rends compte que ce que j’aime vraiment, c’est le pop-punk et le ska. Merde ! Moi qui ai fait semblant d’être un esthète pendant 15 ans, ça la fout mal. Manifestement, j’ai quand même assimilé suffisamment de pochettes de bon goût (et Annie Cordy) pour intégrer le ventre mou du classement de ce formidable jeu.
Sinon, j’aime le baseball et, depuis peu, les cartes Magic. Bref, traitez-moi de “big fucking nerd”, ce sera assez descriptif. Ça tombe bien, les invectives toutes étasuniennes sont d’actualité ! Oui monsieur, c’est semaine d’élection from sea to shining sea. Oui madame, les USA seront thématisés cette semaine. Que la meilleure gagne.
Professeur des écoles, fan de motifs floraux et de thé à la menthe. Je collectionne les vinyles depuis une dizaine d'années (la hausse des prix n'aide pas mais on résiste !) et le rock progressif est ma religion ! Mes goûts musicaux sont assez variés: new wave, metal du début des 70s, bossa nova, funk, variété, soft rock, rap US des années 90, rock indé et bien d'autres choses. J'aime tout particulièrement les grandes digressions instrumentales et ce qui ne se rapproche pas trop de Bon Jovi ou de la trap (aucun rapport entre les deux mais j'y suis allergique :-( )
J'espère que ma sélection de disques ne vous torturera pas trop et qu'elle vous donnera envie d'écouter et/ou de découvrir des artistes ;)
Tombé dans la marmite de musique pas comme les autres (essentiellement indie-pop) à l'adolescence grâce à un correspondant anglais et Bernard Lenoir au début des 90's, je ne m'en suis jamais remis. Curiosité et partage sont les deux pôles de mes goûts musicaux : Je dois être une des dernières personnes à encore prêter des disques à ses amis plutôt que d'envoyer un lien internet !
Reconnaître une pochette de disque en ne voyant qu'une petite partie est un véritable défi, surtout pour les passionnés de musique. Les pochettes d’albums sont souvent des œuvres d'art complexes et détaillées, conçues pour capter l'attention dans leur ensemble. Lorsque seule une fraction est visible, les indices visuels deviennent plus subtils et difficiles à déchiffrer. Il faut se fier à des éléments comme la palette de couleurs, une typographie distinctive, ou un motif reconnaissable. Parfois, ce n'est qu'un petit coin de l'image, une ligne de texte partielle, ou un détail presque anodin qui peuvent réveiller la mémoire.
La difficulté réside aussi dans le fait que certains albums célèbres partagent des styles similaires : une couverture abstraite ou minimaliste peut se fondre dans le paysage visuel d'autres disques. À l'inverse, d'autres pochettes, plus iconiques, sont tellement imprégnées dans la culture populaire qu'une simple couleur ou forme suffit à les reconnaître, mais cela demande souvent une grande familiarité avec l'œuvre.
Il faut donc à la fois un œil averti et une excellente mémoire visuelle pour relever ce défi. C’est un exercice où chaque détail compte, et qui rappelle à quel point l’esthétique des pochettes d’albums fait partie intégrante de l'expérience musicale.
Bref, on va faire simple !
Initié à la musique au début de l’adolescence par les disques des Beatles, de Simon & Garfunkel et de Pink Floyd, c’est en seconde, au début des années 90 que j’ai plongé dans le rock, le shoegaze, puis découvert la pop baroque et l’électro. Plus tard, j’ai commencé à explorer les univers folk américain et britannique (prog folk en particulier) dont je ne suis pas encore revenu. Saupoudrez de généreuses pincées de musique brésilienne, de soul et de jazz et vous aurez une bonne idée de mes goûts musicaux, régulièrement alimentés par les amis du Twitter musique !
Je me réjouis d’être résident cette semaine et je vous souhaite à tous plein d’étoiles et de belles découvertes !
Tombée ici par hasard !
Je suis d'une nullité absolue sur Pixelized mais j'adore ce jeu. N'étant pas un couteau Suisse (coucou Fabio) j'espère que tout ira bien.
J'écoute beaucoup de vieilles choses aussi soyez prêts à remonter le temps de nombreuses fois.
Pas de longs récits sur le choix de mes albums, je ne sais pas faire.
Bonne semaine et chance à tous.
Bon, c’est bien embêtant, parce que parler de moi, d’autant plus par cette voie, ce n’est jamais évident. Et puis quoi dire ? Je ne suis ni particulièrement musicien (avec pour seule expérience douteuse d’avoir tapé quelques années sur des fûts de manière totalement approximative bien qu’enthousiaste), ni vraiment mélomane (les noms des troisièmes guitaristes ou des mixeurs sons ou les nuances génériques entre d-beat et crust-punk, très peu pour moi). J’ai juste eu le malheur de tomber assez jeune dans le chaudron Pitchfork/MagicRPM/Sputnikmusik, me construisant dans ma ville lyonnaise une réputation problématique d’indie boy. Pour vous dire la gravité de la situation, mes ami.e.s ont fini par résumer (assez efficacement, je dois l’avouer) mes goûts en une catégorie sentencieuse : le « folk chiant ». Un cliché sur pattes en somme.
Puisqu’il n’y a rien qui ne soit pas accablant dans ce portrait à charge, je préfère vous parler de ce jeu : depuis des mois, il nous fait râler, débattre, et spammer allègrement nos groupes whatsapp avec EddyMeter, Krokodebil et autres BobAppleFish. Il m’a fait enfin entrer en contact avec des têtes lyonnaises connues de concerts sur des péniches douteuses. Il a rythmé mes journées, et ouvert un nouvel espace de discussion et de découvertes (bien que je ne sois pas parmi vos échanges virtuels) avec des gens fort sympathiques. Il a failli à maintes reprises causer ma rupture sous prétexte que c’était devenu à peu près mon seul sujet de conversation, et que débattre sur à quel point identifier la pochette d’un album de Swell en moins de 2 secondes est une performance majeure n’est pas exactement un point d’intérêt universel. Et, last but not least, il m’a révélé lors d’une soirée mémorable l’existence du plus chouette des bars confidentiels parisiens : le Motel (à quand la seconde édition du Pixelized live ?).
Pour toutes ces raisons, voici donc pour cette semaine ma modeste contribution à cette joyeuse communauté, avec mes chaleureux remerciements à vous toustes et surtout mes excuses par avance : sept albums que j’aime, puisés (plus ou moins ?) au hasard, ça fait un risque non négligeable de folk chiant.
Bises, et bonne chance !
DJ Ackstrummer n'est pas sur X, utilisez les commentaires ci-dessous pour lui dire que sa sélection est trop facile ou trop super !
(Les gens qui lisent la bio: on sait bien que c’est juste pour essayer de grappiller des indices. Il n’y en aura pas.)
Entourée, au boulot, de très jeunes personnages qui ne s’y connaissent que moyennement en musique - à part en Anne Sylvestre - je me rattrape le week-end avec des ami·e·s qui en parlent et en font beaucoup, des vinyles par millions qui ne demandent qu’à être écoutés et des concerts plutôt pas mal dans les environs. Lausanne, cette bonne petite ville.
Écouter, j’aime bien. En parler, beaucoup moins. Peut-être à cause d’un traumatisme à 12 ans, quand j’ai présenté un exposé sur JJG et que les deux camarades juste avant moi avaient choisi Béru et Ludwig von 88.
Je dis que j’écoute des trucs comme Pere Ubu ou Sun City Girls pour faire ma spéciale, mais en vrai ce que je préfère c’est le classic rock bien mainstream.
Mon amour va tout droit à Robert Smith, Jarvis Cocker, les Kinks et Big Thief.
Je déteste Nick Cave (parce qu’il est louche) et Eric Clapton (parce qu’il a pas été réglo du tout avec mon préféré au monde, mais j’aime quand même bien ce qu’il a fait avec son équipe de Dominos).
Les Clash, j’ai jamais compris. Booba, oui.
Je ne vais mettre que des disques que j’aime très fort, sans peur du jugement.
Les points reviennent! Y aura facilement moyen de s’en mettre un bon paquet de côté dans les premiers dixièmes de secondes ; on perd déjà assez d’heures de notre vie sur Aligned Records.
Toute une semaine dédiée aux délais dépassés : vous en rêviez ? Fabio l’a fait !
C’est l’été : certains sont en vacances, d’autres pas encore et d’autres plus (force à vous).
Alors pendant sept jours : on se décontracte et on s’amuse avec une playlist WTF.
Je fais le serment de mettre à profit tous mes talents de merdologue pour vous divertir.
Cependant, la notion de délai dépassé étant totalement subjective : je tiens à l’avance à présenter mes plus plates excuses à ceux qui apprécieraient sincèrement certains artistes présents cette semaine.
Attention : certaines pochettes ne seront pas des albums mais des 45T.
Have fun!
DJ Moz35
Sur le thème : Les accents ont du talent
Après avoir fait ses gammes à manger des frites et boire de la bière dans les
Ardennes et le Nord, il s’est depuis 20 ans converti à la galette saucisse… et à la bière... Bretonne.
DJ Ràfond
Sur le thème : Hard rock des 80's
Petit gars de la Beauce ayant fait une grosse halte Lyonnaise de quasi 15 ans, amateur de pinard et de whisky écossais, il a découvert la musique grâce à son cousin qui avait 6 ans de plus. A kiffé le hard très tôt (premier album à 6 ans) puis le punk, s'est fortement arrêté sur Joy et les Smiths et s'est enfin forgé au fil des années sa propre empreinte musicale, plutôt vaste et parfois vague....
Se prend parfois pour un girafon mais c'est pour du rire hein ? En plus il ne supporte pas de se flinguer la tête parce que les plafonds sont trop bas, et les sabots ça fait mal aux pieds.
D'abord.
Aimant aussi les blagues à deux balles, jeux de mots et autres calembours, n'oubliez pas que l'été étant là, les canicules s'emballent...(Tu l'as ?)
Rat de la chine, j’écume brocs, puces et Emmaüs de la belle région lyonnaise samedi, dimanche et jours fériés afin de trouver trésors et perles rares sur toutes surfaces, vinyles, CD, K7 ou shellac.
Pas de streaming chez moi, si ce n’est pas sur de la matière, je n’écoute pas.
Je suis un Ayatollah du support.
Pour que j’apprécie, il me faut toucher l’œuvre dans son entièreté.
@Cyrilou_
Futur ex-lyonnais à l'heure où on vous parle, DJ Bühler a plus d'un tour dans son sac : animateur radio (Le P'tit Bazar sur Radio Canut 102.2 le samedi à 13h), rédacteur de critiques musicales sur plusieurs médias en ligne (les copains d'indiemusic par exemple), ex-host et DJ des soirées Glam Against The Machine au Sonic Lyon, et accessoirement conservateur des bibliothèques le jour (faut bien manger à la fin du mois).
Boulimique de musique, geek, contemplateur, abstinant alcoolique et sexuel depuis une année, DJ Gros-Paquet vous fera vibrer au son des standards indés de notre époque.
Cette semaine sera facile ou ne sera pas !
Bonne chance à tous mes losers.
Je me souviens encore de ma plongée dans la musique dans les années 80's, quand sous le préau du lycée nous nous échangions les quelques 33 Tours Punk et New Wave, en demandant avec fierté "j'suis sûr que tu ne connais pas ce groupe qui vient de sortir cet album !"
Le Twitter musique fait ressurgir tous ces moments de partages, d'échanges et de découvertes, et ce satané jeu Pixelized que j'adore en est le carburant !
La musique a toujours été pour moi une grande source d'inspiration et les pochettes de disque font partie de la créativité. Et j'essaye de retranscrire ces idées dans les collections Madluv.
Trop heureux d'être résident pour cette semaine, c'est parti pour 7 pochettes de la Win ou 7 pochettes de la Lose. Je vous souhaite plein de coeurs sur vos réponses de loser, beaucoup de "délais dépassés", et des bonnes étoiles pour la win.
Et j'espère surtout que ces pochettes vous donneront envie de découvrir ou de réécouter ces artistes.
Des Bizz Pixelized !
@MadluvParis
www.madluv-paris.com
C’est marrant ce truc parce qu’on se dit qu’on va mettre les disques les plus évidents, les plus importants pour nous, et parce que plus on fouille, plus on a envie d’aller chercher des trucs moins évidents.
Ma sélection ne sera donc pas forcément un best of de ce que j’aime le plus, mais une compilation de choses que j’ai envie de partager et de choses qui ont eu dans ma vie une raisonnance particulière, à des moments particuliers.
C’est pour moi un exercice particulièrement difficile parce que j’ai été bien souvent et suis encore fort fréquemment, intimidé par l’érudition musicale et la célérité spectaculaire de beaucoup d’entre vous.
Aussi ai-je un temps, résisté lorsque Fabio, le légendaire helvète au non moins légendaire gros paquet, m’a proposé d’être à mon tour résident, mais notre auguste et vénérable taulier, a su me convaincre et m’a fait des propositions que je ne pouvais pas refuser. (Un jour viendra, je serai en position de vous faire Moultes révélations concernant le sus-cité soit-disant paquet).
Je suis DJ Bar Bolivien, je suis tenancier d’un bar-pmu à la Paz.
Mais on me connaît bien sous le pittoresque et prestigieux sobriquet de « Captain Merguez » car je viens du Merguezisthan, un pays gorgé de soleil, d’huile d’arachide, de houmous et de harissa.
J’y exerce la très prisée profession de merguezologue-merguezothérapeute agréé, conventionné secteur 1, honoraires très très libres. Je lis l’avenir dans les merguez.
J’assure également les fonctions de président, vice-président, président honoraire, fondateur et unique (gros) membre au sein de la très très sélect « Amicale de la Merguez ».
Je vous souhaite de loser avec panache et distinction.
IN MERGUEZUM VERITAS
Votre serviteur est une énigme, né un doux matin de printemps de la première moitié des 70s en terre sarthoise. Dès son plus jeune âge, il s’éprend des mélodies qu’il entend sur les ondes ouvertes de la FM. Il se découvre une passion dévorante pour la musique. Deux événements changent le cours de sa vie. Un walk-man offert pour son douzième anniversaire. Et être le gagnant d’une loterie qui le voit remporter un ordinateur (un TO8, pour les connaisseurs) et dessiner ses futures études et mésaventures professionnelles.
Malgré son amour pour les harmonies complexes et les envoûtants arrangements de cordes, il est un véritable naufragé du pixel musical. Chaque tentative de découverte d’une pochette pixelisée se solde par un fiasco mémorable. A-t-il vraiment des disques ou doit-il être accompagné par un chien ? La photographie, la peinture, le collage et la dégustation de pâtisseries sont des échappatoires pour lui, qui lui permettent de plonger dans l’abstraction.
Cette semaine de résidence sera-t-elle un happening ?
Allez voir ses travaux artistiques sur Insta, ici et aussi ici !
Le plus jeune de la bande, le bébé, celui qui pourrait être votre fils, votre neveu, votre gendre qui sait ?
« Ils sont complètement ravagés les enculés de jeunes » disait un grand homme, et Matye Spodermine le prouve chaque jour en écoutant trop d’hyperpop et en errant dans Paris à la recherche de la pinte la moins chère de la capitale.
Existe-t-il vraiment, l’a-t-on vraiment rencontré ? Ou est-il seulement une rumeur qui circule sur internet ? Certains illuminés prétendent l’avoir déjà vu à la Route du Rock ou au détour de concerts indie douteux, mais aucune preuve concrète n’a été établie autour de ces faits. Certains disent qu’il est seulement une IA qui n’avait qu’un seul but : décrocher une résidence Pixelized pour torturer des internautes innocents.
Journaliste, mais pas dans la musique. Tant mieux, elle est restée une passion, pas un job. J’ai été biberonné à Brel, Brassens et Carmina Burana, les quelques rares vinyles qui trainaient à la maison. Les radios libres ont ensuite éveillé mes sens (Sabrina aussi, mais c’est une autre histoire).
La vraie claque, et avec elle la passion, est venue de Manchester. Depuis, le rock indé anglais est ma religion (et Ian Curtis est son prophète). Joy Division est le plus grand groupe du 20e siècle. Vous avez tout-à-fait le droit de penser le contraire, à condition de comprendre ceci : j’ai raison et vous avez tort. A part cela, tout est discutable.
Mon nom de DJ me vient d'une soirée au Rosalie, un bar de la rue Popincourt où ma playlist rassemblant une chanson par année depuis 1974 a été jouée pour les 50 ans d'une copine. Lorsque nous sommes arrivés, on avait droit à Partenaire Particulier et Indochine en boucle. J'ai un peu changé l'ambiance et le patron a suffisamment apprécié pour me gratifier de ce pseudo de DJ Manufik et me payer deux ou trois verres. Les salaires les plus modestes sont parfois les plus touchants.
Je m’appelle Pierre. J’ai 54 ans, 8 mois, une chérie, deux filles, et 4 victoires à pixelized. J’ai la chance d’avoir eu très jeune des voisines qui m’ont prêté leurs disques, puis des amis passeurs qui ont éveillé ma curiosité musicale. J’espère que vous vous éclaterez avec les 7 pochettes que j’ai choisies pour vous, que vous soyez blitzeur.euse ou pixeloser.euse. Bonne chance !
Je suis musicien (fingerpicking en solo et ex batteur de feu The Ready-Mades) et j’écoute énormément de musique, de jour comme de nuit, été comme hiver. Je ne suis pour le moment pas très bon à Pixelized mais j’adore ce jeu – mon fait d’armes est d’avoir trouvé Berlin de Lou Reed en 1.60s ! – et je suis ravi de vous proposer les 7 disques de ma sélection !
@julienldr | www.julienledru.com
Coréenne au nom typiquement belge mais baltringue bruxelloise pure souche …
Je passe plus de temps dans les salles de concerts qu’au travail. Mes goûts extrêmement éclectiques vous feront passer d’Henri Rollins à Calogero. Au vue de mes résultats et de ma médiocrité à ce jeu, cette semaine se jouera au chrono ! Je suis capable de me planter de pochette !
Vous voilà prévenus ! Have fun !
New Yorkais d’adoption, fan des Knicks et de Damien Jean, j’anime de manière très irrégulière une chaîne Youtube qui recherche désespérément des abonnés. Mes passions musicales vont du dangdut aux expérimentations musicales de Constellation. Punk dans l’âme, je me suis toujours refusé de gagner à Pixelized.
Lilloise pur sucre, jamais sans musique, on me trouve parfois au premier rang des petites salles de concert du nord et de Belgique.
Adepte du genre « trucs qu'on entend nulle part » (sauf dans les salles susmentionnées) mais pas que. Si cette semaine vous (re)découvrez des pépites je ne serai que joie. Enjoy !
Parisien-Breton-Lyonnais parti en exil aux US au début des années 90, à Louisville depuis 2002. Trois boussoles musicales : Bernard Lenoir, Les Inrocks première période et la Route du Rock. Nostalgique de l’euphorie des soirées du fort de St. Père et du camping dans les douves.
@Kryg502
Cette semaine, on reste dans les hautes sphères en invitant la Comtesse. Tenue correcte exigée pendant toute la durée du jeu! Et avant d'empoigner son smartphone, on s'occupe de son visage gras et de ses cacas d'oeil, merci d'avance.
FRANÇOIS
« J’adore et j'en rêve la nuit !! Choix musicaux impeccables. »
TÉTON
« Merci, ça fait plaisir ! »
FRANÇOIS
« Combien de fois faut-il avoir gagné (hahaha) pour pouvoir proposer des devinettes de pochettes ? »
TÉTON
« La semaine du 26 février au 3 mars, tu fais quelque chose ? »
@FrancoisNemeta
www.francoisnemeta.fr
Je ne vais pas vous cacher que la semaine à venir sera riche en émotions.
Dès lundi, pixelized reçoit Monsieur Arbouse, grand Maître du détail fou !
Le jeu du Détail, c'est le grand frère, le cousin, l'idole de pixelized. Autant vous dire qu'on se réjouit de loser !
maymacmusic.com
Et jeudi soir, pixelized en live au Motel !
Cette sermaine, le bar le plus cool de Paris, @lemotel, tirera les ficelles du jeu suisse le plus cool du twitter musique français !
Et le 22 février, Pixelized ira retourner le Motel pour un jeu en LIVE !
Cette sermaine, DJ Comtois, aka @Fab_PJ, nous fera deviner les pochettes en chantant en patois franc-comtois ! Enjoy ! ;-)
Cette semaine, les pochettes à deviner seront dessinées par Halfbob ! Autant vous dire que ça ne va pas être simple !
Vous pouvez aller voir son travail sur son Instagram.
On a dû le prévenir 6 mois à l'avance pour qu'il puisse affiner sa sélection de 500 disques à uniquement 7, mais il est enfin là notre François !