Helloween avait pour réputation -que j’ai lu dans certains magazines de l’époque- d’être le Iron Maiden allemand. Ca se ressent légèrement effectivement, déjà par certains solos et cette manière de chanter de Michael Kiske (bénin ahah) qui est donc intervenu au chant pour la première fois sur Keeper of the seven keys (un hommage prémonitoire à Passe-Partout de Fort-Boyard huhuhu) pour laisser Kai Hansen, au chant sur Wall of Jericho, l’album précédent, ne plus faire que de la guitare.
Notons toutefois qu’ils ont une tendance à être un poil plus speedy et darky que les Irons.
Keeper of the Seven keys aura sa suite 1 an plus tard. Mais le premier fut une petite révolution à l’époque, même si je l’ai remisé un peu, je le ressors de temps en temps. Je me rappelle encore de l’intérieur de la pochette où les paroles s’étalaient entre plusieurs petits dessins bien humoristiques d’un bonhomme à tête de citrouille. Logique me direz-vous.
Je vous laisse donc avec ce morceau de 13 minutes (maiden style ahah) qui regroupe finalement pas mal du panel sonore d’Helloween, avec des passages solo un peu wtf (que certains trouveront peut-être limite inaudibles) et d’autres, pour soutenir la comparaison parfois évidente, beaucoup plus « Murray/Smith ».
Pour la petite anecdote perso : elle fait partie de ces titres que je mets « à date » soit le 31 octobre sur twi-X.
Bonne ou mauvaise écoute :D