On commence par le début, à la fois en terme de difficultés, avec du classique intestable et surcélèbre, et aussi par le début chronologique, pas des albums en eux-mêmes, rassurez-vous les boomers, mais de ma vie en tout cas.

Une de mes portes d'entrée de la musique, un des premiers CD achetés et adorés, pourtant bien anachroniquement puisque mon adolescence se déroule au tournant des années 2000 à 2010.

Déjà en décalage mais déjà punk, car oui, désolée les puristes, si Green Day commence avec ce disque à connaître le succès et amorcer le début du pop-punk, ce disque garde une énergie brute, adolescente et intemporelle, qui je pense demande de se forcer pour y rester insensible. Et c'est quand même une porte d'entrée plus logique pour une teenager paumée et mal dans sa peau que le plus vilain hardcore. Mais on en reparlera...